18 novembre 2018 - Randonnée Lacs Robert

Plus d'un mois que nous n'étions pas sortis.

Il fallait que cela change....

Pendant que les gilets jaunes foutent le boxon sur les routes, nous filons en montagne.
Contrairement à la veille, le beau temps est annoncé, mais avec une baisse des températures.

Au Séglières, dans la montée de Chamrousse, nous laissons la voiture, chaussons les chaussures et filons en direction de la cascade de l'Oursière.

Le chemin est raide et parsemé de cailloux. En plus, nous montons en sous bois, ce qui nous fait sentir que le fond de l'air est froid.

Heureusement, au moment du pique nique, nous débouchons sur le plateau ou le soleil est bien présent.

Nous sortons du sac de quoi nous sustenter et apprécions les rayons du soleil qui nous réchauffent.

La descente se fera par le lac des Pourettes. Cette combe ne voit plus le soleil, et la neige, pourtant tombée depuis un certain temps est encore présente.

Le lac quant à lui est gelé.

J'avais fait cet itinéraire en ski de rando, mais à pieds, c'est autre chose. Beaucoup de cailloux rendant la progression lente.

Au parking de Casserousse, nous apercevons le nouveau télésiège de la station de Chamrousse, puis empruntons un large sentier qui nous ramène à la voiture.

Bonne journée qui va me laisser des courbartures au moins jusqu'à mardi.

27 Octobre 2018 - Famille Mariage de Nathalie et JP

Alors là, c'est la nouvelle.

La grande soeur de Patricia, Nathalie, se marie avec Jean Philippe.
Ou plutôt ils régularisent une situation vieille de 18 années. D'ailleurs leur fille, Mathilde, va bientôt être majeure.

Pour l'occasion, Patricia à posé des congès, pour être sure d'avoir son samedi.  Elle profitera d'ailleurs un peu de ses parents en descendant jeudi sur Mauves. Je la rejoint vendredi à Valence en train.

Samedi, tout le monde est bien habillé pour cet événement

que nous fêtons au restaurant.

Longue vie aux vieux mariés.

11 octobre 2018 - 4 jours vélo dans le Buech.

Mercredi 10 octobre. 

Dernier jour de boulot à Zigo. Mon contrat se termine. Thierry ne part pas tout de suite à la retraite... J'attendrai encore un peu pour récupérer la (ma) place.

En attendant, les copains veulent fêter ce nouveau départ et comptent bien faire du vélo.

Jeudi 11 octobre. 

Cela c'est décidé à la dernière minute, évidement. Du coup, Hed n'a pas pu se libérer, mais peu importe, on se débrouillera pour la récupérer le lendemain.

A 9 heures, nous sommes 3 chez Patrice (le boss de Zigo).
Lauriane, Alex et moi. Nous empruntons le trafic aménagé pour partir à 3 vélos et revenir à 4.

Direction Chauffayer. Dans la précipitation, je n'ai pas prévu d'itinéraire et vais donc reprendre la base de celui que nous avions parcouru avec Patricia il n'y a pas si longtemps.

A 11 heures nous sommes sur les vélos. A midi nous arrivons à St Bonnet. La boulangerie est fermée depuis peu, mais la patronne accepte de lever le rideau pour que nous puissions nous régaler d'une tarte du Champsaur.

Sur la place du monument aux morts, nous nous installons pour pique niquer.

Arrivent les 2 employés municipaux, avec l'envie de passer le temps et de discuter... Une copie du sketch des Chevaliers du fiel.

La route continuera par St Léger les Mélèzes, Ancelles, Col de Moissières.

J'ajuste l'itinéraire en fonction de notre avancée.

Au Hameau du Fein, nous sommes surpris par un orage. Heureusement nous avons un abri, où nous passons le temps à regarder l'animation du village. En fait, il ne passera qu'une voiture et rien d'autre.

Une fois la pluie terminée, nous reprenons la route ou plutôt la piste pour aller nous poser vers la cabane de la croix des près.

Malgré la cabane, nous plantons la tente sous les bois, mettons les vélos dans l'abri et nous activons pour préparer un feu de bois.

Il faut dire que dans nos bagages, nous transportons une côte de boeuf de 1,1 kg, des patates et des châtaignes.

Rassasier, nous nous couchons pour une bonne nuit de sommeil.

Vendredi 12 octobre. 

Il nous faut nous lever tôt. Nous avons prévu de récupérer Hedwige à la gare de Gap. Son train arrive à 10h30. En fait elle à pris le premier. Nous avions misé sur celui de midi...

Heureusement la piste à la descente est bonne. 

Par rapport à notre dernier passage, avec Patricia, elle à été nivelée et nous arrivons dans la vallée assez rapidement. 

Il est évident que nous n'arriverons pas à Gap à temps. Du coup, grâce aux téléphones portables, nous donnons rendez vous à Hed au village de Tallard.  Où nous arrivons presque en même temps. 

La encore nous modifions l'itinéraire car celui que j'avais en tête devait nous amener à Sisteron, mais nous n'avons pas le temps et nous devons trouver un village pour faire les courses. 

Après un pique nique nous offrant une belle vue sur le Pic de Bure nous changeons de vallée et filons vers les Baronnies de Haute Provence. 

Encore un col et nous basculons sur Veynes ou nous trouvons, après avoir rempli nos sacoches de nourritures, un bon bivouac avec en prime une rivière pour nous décrasser. 

Ce soir, lentilles et saucisses, jeux de cartes et musique. Il est 2 heures du mat quand nous nous retirons sous la tente. 

Samedi 13 octobre. 

Réveil plus tardif ce matin. malgré l'absence du soleil qui ne pointe pas encore son nez, il ne fait pas froid. 

Cette fois si, nous filons sur Laragne en passant par 2 cols, 

suivons la Durance et remontons la vallée du Büech.  Courses à Serres puis nous attaquons la petite route de Sigotier pour arriver à Aspremont. 

Je pensais gravir le col de Cabre, mais il nous faut raccourcir, car le mauvais temps est annoncé pour Dimanche et nous allons essayer de nous avancer sur l'étape du lendemain. 

Finalement nous ne sommes qu'à 25 kilomètres de Veynes. Nous connaissons le super marché et le lieu de bivouac idéal. 

Après 95 km, nous plantons la tente au même endroit que la veille, mais nous changeons le menu et nous essayons, avec succès, à la tartiflette au feu de bois. 

Dimanche 14 octobre

Dernier jour. Le ciel est couvert (mais il ne pleut pas) et un vent glacial nous pousse vers le col du Festre.

Plutôt que nous enfiler un pique nique, nous nous enfilons dans un restaurant. Un peu gastronomique. Menu à 30 euros. Mais vraiment bon.... Escargots en entrée, Saumon en premier plat, Taureau en second et dessert maison....

En sortant il nous faut nous motiver pour reprendre la route et franchir le col des Rioupes que nous rejoignons par un sentier qui prend droit dans la pente, mais qui nous évite de refaire la route qui nous a emmenée au restaurant de Asnières en Dévlouy. 

La suite, une belle montée du col du Noyer. 

Au sommet, le chalet refuge ou nous voulions nous offrir une tarte aux myrtilles, est fermé. 

Il fait froid et basculons dans la vallée du Drac. 

Retour à Chauffayer. 

Le soir nous finirons cette belle virée chez Patrice et Lauriane autour de bonnes pizzas. Patricia, n'ayant pas pu pédaler avec nous, viendra pour le repas final. 

Si la météo continue à être de notre coté, nous pourrions remettre cela....

28 septembre 2018 - WE Vélo Buech

Patricia à son vendredi. Youpi !

Du coup, nous partons dès le vendredi matin direction le Buech. Grand beau annoncé dans les hautes Alpes.

A Serres, nous nous installons au dernier camping encore ouvert. Il ferme dimanche, mais le proprio nous permet de démonter la tente après notre virée vélo.

Petite mise en jambe l'après midi

Quand le département vend ses routes.....

pour franchir le col de l'Ubaye.

Pas goudronné. Un peu de poussage dans la montée et beaucoup de soubresauts dans la descente...

Au hameau des Courtilles nous retrouvons le goudron. et rentrons par la route en parallèle de la nationale qui nous mène dans le village de Serres.

Samedi 29 septembre. 

Grand beau et déjà chaud quand nous nous levons.

Cette fois ci direction Sigotier,

le col de Carabes qui marque la limite entre les Hautes Alpes et la Drôme.

Passage aux sources de la Drôme, puis à Valdrôme avant de rejoindre La Charce,  Rosans et rentrer tranquillement sur Serres.

Quelques cols empruntés et de beaux paysages.

Dimanche 30 septembre. 

Départ pour La Batie Montsaléon. La route indiquée sur ma carte Michelin n'existe pas. Nous devons suivre la Nationale un peu plus longtemps que prévue.

Quelques petits détours pour gravir quelques cols pas loin de notre passage. Même si nous les avions déjà gravis, cela fait toujours plaisir d'y retourner.

Pique nique le long du canal de la Durance et retour par Laragne Montéglin en évitant soigneusement la Nationale.

Malgré quelques nuages, il faut encre chaud quand nous démontons la tente.



C'est sur le retour, et au passage du col de la Croix Haute que le temps change complètement. Grosse pluie et chute des températures.
Arrivés à Grenoble nous avons presque froid.
D'ailleurs le lendemain, lundi, les sommets sont tous blancs. Même Chamechaude, le sommet de la Chartreuse a blanchi.